La Préhistoire est la première période de l'histoire humaine. On la divise en âge de pierre, âge du bronze et âge du fer. Elle commence avec les premiers outils de pierre et s'achève avec la diffusion de l'écriture .  La préhistoire est un autre terme pour désigner la période préhistorique . Il n'existe aucune trace écrite de cette période la plus ancienne de l'histoire humaine. Personne n'a pu retracer ce qui s'est passé à cette époque. Les archéologues étudient cette époque . Ils examinent ce que les hommes ont laissé derrière eux. Il peut s'agir de vestiges de maisons, d'outils ou d'œuvres d'art. L'âge de pierre, quant à lui, est la première et la plus ancienne période de la préhistoire . Il est subdivisé en périodes paléolithique , mésolithique et néolithique . Chacune de ces périodes présente des caractéristiques spécifiques. Leur point commun, cependant, est l'utilisation d'outils en pierre par les populations de cette époque.L'âge de pierre a commencé il y a 2,5 millions d'années. Il s'est terminé en 2200 av. J.-C. ; cette ère a donc duré très longtemps ! Le développement humain a commencé encore plus tôt.  La Préhistoire comprend non seulement l'âge de pierre, mais aussi deux autres périodes préhistoriques : l' âge du bronze et l' âge du fer . Leurs noms indiquent déjà que l'on ne travaillait plus la pierre, mais principalement le métal, notamment le bronze et le fer. Vous trouverez également ici toutes les informations sur ces périodes pour vos cours en ligne ou vos présentations. La Préhistoire s'achève avec les premiers vestiges écrits. En Europe centrale, cela se situe au Ier millénaire avant J.-C., et en Orient dès le IIIe millénaire avant J.-C. Cela marque le début de l'histoire ancienne.

Si vous étudiez l'âge de pierre à l'école ou plus tard, vous trouverez toutes les informations importantes dans l'ouvrage signé par Jean-Paul Demoule, Benoist Simmat et Lucas Landais, des premiers outils aux sociétés humaines les plus anciennes.  Une frise chronologique vous permet de voyager à travers l'âge de pierre et l'histoire, par exemple jusqu'au Néolithique. Le récit est clair, net et captivant. Trouver l'équilibre entre omission de détails et longueurs de phrases est un défi, surtout lorsque le scénario exige de la verbosité. L'histoire est longue et extrêmement complexe, difficile à raconter. Cependant, Simmat use habilement de divers procédés linguistiques et stylistiques pour maintenir l'attention et l'intérêt du lecteur. Tout d'abord, en choisissant un narrateur sérieux, fiable et pourtant informel. Un narrateur qui parcourt le temps et l'espace, faisant avancer l'histoire à un rythme soutenu. Il gère et synthétise la masse d'informations sans nous ennuyer. De nombreuses touches d'humour animent la lecture et nous font rire. Souligner le côté comique, voire ridicule, de certaines situations et recourir fréquemment à l'ironie facilite l'immersion dans le long texte et son contexte historique. Il y ajoute également de nombreuses anecdotes intéressantes qui piquent notre curiosité. Tout un ensemble d'ingrédients qui ne peuvent que rendre la lecture divertissante et amusante. Côté graphisme, les illustrations rappellent les bandes dessinées de journaux. Landais reproduit fidèlement les cartes politiques des périodes historiques abordées dans le texte afin de conférer une plus grande clarté au récit. Cela met immédiatement en évidence le travail minutieux de documentation graphique préalable derrière chaque page. L'artiste donne vie, parodiant mais avec réalisme, à des scènes historiques clés de l'évolution de la société.